3 astuces pour booster vos capacités cérébrales

Les études montrent que même adulte des neurones peuvent encore être générés dans le cerveau. On peut donc améliorer ses capacités cérébrales à tout âge par des techniques simples : mieux s’alimenter, entraîner son cerveau et mieux gérer son stress, entre autres. Nos astuces pour travailler la plasticité du cerveau.

1. Apporter les nutriments nécessaires

Certains nutriments ont la propriété d’apporter de la fluidité à la membrane des neurones. C’est le cas du magnésium, de la vitamine B16 ou encore de la taurine. On en trouve dans les aliments comme le soja, le chocolat noir, les œufs, la viande, le poisson, les fruits secs (noix, amandes, noisettes), les bananes, le poulet, le raisin, les pruneaux, les abricots secs, les fruits de mer ou encore les fruits rouges. On peut aussi se supplémenter en gingko biloba dont la vertu est d’améliorer la circulation cérébrale. C’est un puissant antioxydant qui améliore la mémoire. On en donne d’ailleurs aux personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer.

2. Réguler le stress

Le ginseng est connu pour réguler le taux de cortisol responsable du stress. C’est une solution ponctuelle. Pour un traitement de fond, mieux vaut adopter une bonne hygiène de vie en pratiquant de l’exercice physique. Le yoga par exemple, la natation, le footing, la marche rapide, etc., sont excellents pour faire baisser le stress durablement. La méditation est une bonne alternative aussi.

3. Cultiver sa mémoire de travail

La musique est capable de stimuler le cerveau et l’organisation neuronale en augmentant le nombre de neurones impliqués dans le processus d’apprentissage. Et plus on progresse en musique, plus la quantité de neurones sera importante ! S’adapter à une œuvre demande en effet une gymnastique mentale. Prendre des cours de chant à Montréal, des cours de violon ou de piano par exemple développerait donc nos capacités intellectuelles. Sans compter le plaisir de chanter qui libère la dopamine, l’hormone du bonheur.

On peut aussi cultiver sa mémoire de travail par l’apprentissage d’une langue étrangère. Apprendre une langue accroît en effet la concentration ainsi que les capacités de mémorisation du cortex. Les chercheurs ont même observé que les personnes bilingues avaient une densité plus importante de matière grise ! On l’explique par le fait qu’apprendre une langue sollicite plusieurs zones du cerveau : l’aire de Wernicke pour la compréhension, l’aire de Broca pour l’expression orale, etc.

Il est donc certain que nos choix de vie jouent un rôle essentiel dans notre développement cérébral.